Dans le département de la Drôme :
Je peux sortir de l’ombre la vie de nos ancêtres grâce au travail de plus de vingt-cinq ans de mon cousin Michel Henri Giroud descendant de la branche de Mercurol. Je le remercie pour toute l’aide qu’il m’a apportée lors de nos échanges verbaux.
Générations représentées sous forme de tableau :


Nous sommes sous le règne du roi Louis XIV jusqu’en 1715, sous la régence du duc d’Orléans (fils du frère cadet de Louis XIV) jusqu’à sa mort en 1723 puis sous le règne de Louis XV.
« L’horizon naturel est toujours celui du village et de l’espace compris dans un rayon d’une ou deux lieues alentour -4 à 8 kilomètres. La lieue représente la distance que franchit normalement un adulte en une heure. Deux lieues, c’est le trajet qu’effectue un villageois pour se rendre dans le village voisin. Avec le chemin du retour, cela lui fait quatre lieues, soit 16 kilomètres : 4 heures de marche ; c’est un maximum ». [1]
De la paroisse de Châteauneuf d’Isère Antoine et Mathieu, son père (marié à Alix Vinay), se déplacent dans la paroisse de Mercurol. Je vois que mes ancêtres peuvent éviter ce péage :
https://remonterletemps.ign.fr/ carte Cassini

« Des arrêts du Conseil de 1664 et du 03 janvier 1736 confirmèrent ce péage aux successeurs des barons de Clérieux. A la dernière date, c’était le comte de Saint-Vallier. En 1152, l’empereur d’Allemagne le concéda à Silvion de Clérieux et ses pancartes remontaient à 1496 et 1530, selon Guy Allard. Il se levait à Curson entre Tain et Romans ».[2]
Le 25/10/1669 tous deux, laboureurs, officialisent un grangeage situé au terroir du Buisson. Je n’ai pas trouvé sur une carte où se trouve (trouvait ?) cet endroit.
En réalité leur prise de travail commence l’année précédente en 1668 pour une durée de quatre ans finissant en 1672, mais l’acte notarié est établi une année après. [3]
Le sieur Chaléat bailleur dudit acte est une connaissance de mes ancêtres, d’où, je suppose, un contrat de confiance expliquant le décalage entre le début de l’activité et sa rédaction : « Antoine parti travailler avec son père à Mercurol de 1668 à 1672 [4], puis avec son épouse de l’année 1673 à celle de 1679, revient à Châteauneuf sur Isère pratiquer le métier de granger ou grangier* chez le sieur Chaléat ».[5]
Je remarque que la famille de la mère de Catherine Vinay, la famille Penchenier, est présente à Châteauneuf d’Isère depuis 1430[6]. Des deux frères de Catherine un y est tailleur de pierres, l’autre est installé à Valence en tant que maréchal-ferrant (E 2608 folio 281 du 05/01/1679, vue 268).
Quelle est la raison pour laquelle Antoine fait des aller-retours entre ce village et celui de Mercurol : mésentente avec sa belle-famille ? besoin de liberté ? pas assez de travail pour tous ?
Antoine a été émancipé par son père : information fournie sur l’écrit notarial du 25/10/1669 :

L’âge légal de la majorité est, pour la période de de février 1556 au 29 septembre 1792, de 30 ans pour les hommes et de 25 pour les femmes.[7] Donc l’émancipation Antoine né en 1636 a eu lieu avant l’année 1666.
Cette procédure permet de contracter une union, de disposer de ses biens sans avoir besoin de l’autorisation du paternel et de risquer d’être déshérité.
Pendant la présence d’Antoine à Mercurol plus précisément dans la paroisse Saint-Clément naissent ses enfants : Jean en 1674, Antoine en 1676, Marcelin en 1681, Charles en 1683 et Marie en 1687 comme il est noté sur les registres paroissiaux. Ensuite retour sur Châteauneuf d’Isère avec femme et enfants.
Je n’ai pas de trace d’acte de grangeage à Saint-Clément qui permet de faire le lien suivant avec celui « du Buisson ».
Jean, né le 13//02/1674, (mon Sosa 256), se marie une première fois à Chanos le 24/05/1701 avec Gabrielle Feugier. Veuf il se marie une seconde fois avec Michèle Poulin, toujours à Chanos le 20/02/1703, native de La Rivière, paroisse Saint-Clément (cm 2 E 7704 folio 125 du 01/02/1703).
Jean s’installe avec son épouse dans ce lieu où est originaire son beau-père Claude Poulin et le père de Claude, encore un Claude -indiqué sur l’acte de décès de ce dernier, le 08/02/1677. [8] Un Claude Poulin ainsi que d’autres Poulin sont sur la liste des consuls modernes au 25 juillet 1666 (B 1579, AD26).
Le ‘village’ Saint-Clément
Représentation : en bas de cette carte direction le village de Larnage (SC 1455 sans date, AD26) :
La lettre K signifie la présence d’un pont vouté en tuf et en pierres pour le chemin de Saint-Clément à Larnage.
La lettre L signifie l’angle et point de retour des eaux du canal de dérivation dans la Bouterne.

Photographies de l’auteur d’un pan mur de la maison Traversier, parcelle 230, située au carrefour du chemin de Saint-Clément, correspondant dans le cadastre napoléonien section A1, Saint-Clément et Blanche-Laine, au 15/02/1834, 3 P 3431/2, 3 P 3431/14, AD26 :

Et un pan de mur de la maison située sur la parcelle 233 ; mur faisant face à la parcelle 232 de monsieur Derrier section A1, Saint-Clément et Blanche-Laine, au 15/02/1834, 3 P 3431/2, 3 P 3431/14 :


Carte napoléonienne au 15 février 1834, AD26 :

« Saint-Clément, prieuré de l’ordre de Saint-Augustin dépendant de celui de Saint-Félix de Valence, auquel le pape Innocent IV en confirma la possession en 1226, fut incorporé avec ce monastère dans l’Ordre de Saint-Ruf au XIVème siècle et érigé vers la fin du XVIIIème siècle, en paroisse, comprenant une partie du territoire de Mercurol. Le nom de la rivière Saint-Clément se trouve appliqué dans les anciens actes à ce quartier de la commune. La chapelle, d’un style roman fort simple, est aujourd’hui en ruines. Sur la porte on voit encore l’inscription suivante en caractères gothiques : [9]

« La paroisse de St Clément a cessé d’exister au 23/02/1776 avec le dernier curé. »[10]
La vente des biens du clergé à la Révolution française[11] : dans les recherches que j’ai entreprises je ne trouve pas le nom de mes aïeuls dans les registres d’achats de biens, de terres, ni en tant que confront. Je ne trouve pas non plus de baux à ferme avec les gens d’église de ce lieu (Q 397 à Q 399, AD26) :

D’autres éléments (75 V 1-2, AD26) : église vendue à Jean-Pierre Gressot :

En l’an V le lieu ‘Saint-Clément’ existe encore : Claude Perrot lègue à ses 7 enfants immeubles situés à Saint-Clément ; Usufruit à sa femme Françoise Cheval 2 C 1813 (1774/an XII).
A Saint-Clément Jean et Michèle Poulin ont trois enfants : Claire née en 1704, Jean né en 1707 et François né en 1711.
Le 11 octobre 1741 Jean émancipe ses trois enfants[12] : « Nous avons fait assoir sur une chaise à côté de nous le chapeau sur la tête, et nous avons fait mettre à genoux devant lui ledit Jean Giroud second du nom et le dit François Giroud ses fils tête nue et ladite Claire Giroud sa fille les mains jointes… ».
Même à un âge respectable, Jean le second du nom est âgé de 34 ans, la cérémonie d’émancipation devant le notaire répondait à un rite très codifié : l’ouverture des mains par le père était le symbole de la liberté.
Jean, le père, laboureur, veuf de Michèle Poulin, se marie une troisième fois à Chanos avec Catherine Payenas[13], originaire de Saint-Bardoux, née le 04/08/1676 ; Ils n’auront pas d’enfants.
Le 11/11/1741 mon ancêtre fait établir son testament où il nomme François, héritier universel du bien de sa mère Michèle Poulin ; il demande à ses enfants de le prendre en charge avec sa troisième épouse pour leur entretien de vie et vêtements pendant leurs vieux jours, « Il sera versé à Giroud père une pension annuelle viagère de huit setiers, huit barraux de vin et vingt livres d’huile de noix au terme de la récolte de chaque espèce des dites denrées etc… »[14]. Elle-même, le 01/03/1746, malade, désigne François comme héritier universel.[15]
Les biens appartenant à Michèle viennent suite au testament de son frère Claude dont elle est bénéficiaire (E 2271 folio 80 du 19/01/1701). Michèle, elle, n’a pas fait de testament parce qu’elle décède subitement à l’âge de 38 ans le 06/03/1712 à Mercurol Saint-Clément.
« La vieillesse aux XVIIe et XVIIIe siècles, correspond avant tout à une décrépitude physique qui est attente dès l’âge de quarante ans, à cause des conditions de vie difficiles ».[16]
En 1723 Louis XIV émis un édit qui défend de mendier dans les rues et dans les chemins parce que des gens abandonnent la culture des terres trouvant dans la mendicité plus de revenus que leurs terres pourraient leur en procurer ; cet édit se nomme « Edit des fainéants ».[17] Quant à la noblesse : propos tenus par Madame de Maintenon : « A la cour, personne hors le Roi, ses ministres et ses maréchaux, n’a rien à faire. Les journées se passent en vains propos, en jeux, en intrigues. Quand elles ne perdaient pas des mille et des cent à la « bassette » ou au « pharaon » (jeux de cartes à la mode), les dames passaient leurs jours et leurs nuits à manger des dragées et des confitures, à s’enivrer de liqueurs fortes, ou même, tant leur désœuvrement était grand, à prendre médecine (prendre des remèdes ; le plus souvent, se purger) pour se divertir. Les corps étaient ainsi occupés, on meublait les esprits par l’astrologie, l’examen des écritures, les tarots, les philtres d’amour et tous les procédés de la divination et de la magie. Les bavardages sur la famille royale achevaient de remplir ces petites têtes. Un regard du Roi, un sourire du Roi fournissaient à la conversation pour la semaine ; jugez par là si, quand il avait fait un ‘mot’ on n’en avait pas pour le mois ».[18]
Les laboureurs ont des biens fonciers, qui, souvent, suffiraient à les faire vivre, mais ils arrondissement leur revenu en effectuant dans d’autres propriétés des travaux particuliers, ou le plus fréquemment, en prenant des terres en louage (en ‘arrentement’ dit-on à l’époque).[19]
A la Révolution française : « Les citoyens actifs restreints sont tous ceux qui paient des impôts équivalents ou une contribution directe égale à la valeur locale de plus ou moins trois jours de travail (soit une livre et demi à trois livres) : ils ont le droit d’élire le conseil de commune et les juges de paix. Ils se réunissaient en assemblées primaires pour désigner les municipalités et les électeurs ».[20]
La lignée Giroud s’implante à Mercurol : l’arrière-petit-fils de Jean (le père), Pierre, né en 1769, admissible aux assemblées primaires, est votant sur le registre civique de l’année 1797 (L 2356, AD26) ce qui me fait dire que Jean commence à acquérir un patrimoine.
« Jusqu’à la Révolution française, les contrées méridionales furent terres de droit écrit ; le testament permettait au père de favoriser un enfant pour lui succéder ».[21]
Les prêtres repèrent les enfants doués ; ils leur apprennent à lire, et même à écrire.
François est le troisième enfant : habitant la rivière Saint-Clément en 1741 est-il choisi par son père parce qu’il reçoit un peu d’instruction scolaire donnée par les religieux du prieuré de Saint-Clément, qu’il sait signer (paroisse de Marsaz, page 48, 5 Mi 118/R2, année 1746, AD26) ou « parce c’est aussi le moyen de choisir l’héritier le plus digne, celui qui assurera l’avenir de la famille, et donc de renforcer encore les intérêts du lignage » : [22]

« L’agriculture ne fait aucun progrès » je cite page 224, tome 8, les charges des classes sociales sous Louis XIV par E. Lavisse,
Dans le grangeage du Buisson de l’année 1669 il est dit de cultiver les vignes, que pour faire le labourage il est mis à disposition une mule, une jument aveugle acquise par mon ancêtre, je suppose, en accompagnement d’une charrue fournie par le bailleur :

Charrue provenant de Méaudre, fin du XVIIIe siècle (source Musée Dauphinois) ;
Le parcours professionnel des gens de la terre est mis à rude épreuve : de la grêle en 1700, 1708, 1717, 1718, des tempêtes en 1710, 1716, des sècheresses en 1716, 1724, des chenilles en 1700 et d’autres années encore plus en avant vers mon époque. La vigne n’est pas épargnée avec le fléau de la rouille en 1739.[23]
Déjà en 1665 le notaire Servant écrit dans un de ses registres :
« Comme ainsy soit que les habitans et paroissiens du lieu de Mercurol ayent heu des desgats et accicents estranges au mouen de la gresle extraordinaire qui auroit ravagé leur prinses et comme croyant que c’est un coup de la Justice de Dieu par un acte d’assemblée où les paroissiens auroint comparu auroit été résolu qu’on auroit recours aux prières et intercession des glorieux Saints martyrs Senne et Abdon, et que pour cet effect il falloit construire et édifier une chapelle dans l’Eglise proissiales soubs le vocable desdits saints, le tout soubs le bon plaisir et aréement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissme Archevesque et Comte de Vienne, et que lesdits paroissiens du despuis auroint faict et mis ladite chapelle en estat, garny son autel d’un tableau représentant lesdit Saints Senne et Abdon, aux fins qu’il luy pleust accorder la bénédiction d’icelle par son décret du synode dernier auroit commis son archiprête de Romans pour se porter sur les lieux(…) de fonder size messes annuellement pour cet effect de ce jour premier juin mil six centz soixante-cinq ».[24]
NDLR : Fêtés le 30 juillet, les deux saints martyrs Abdon (ou Abdus) et Sennen (ou Sennès) étaient invoqués contre la foudre et la grêle. C’étaient de riches nobles persans fidèles à la religion chrétienne. Vers l’an 249, persécutés par l’empereur Dèce- qu’on appelait « animal exécrable » ; ils furent faits prisonniers à Rome et refusant de renier le Christ, ils y furent égorgés.
Je ne peux pas passer sous silence la météorologie de l’année 1709 :
« Le froid sec qui a commencé le lundi 07 janvier dure jusqu’au 03 ou 04 février. Il fait place à une neige fine d’un demi pied de haut, vite chassée des champs par un fort vent du nord, nord-ouest. Vent qui forme des congères qui ne vont pas faciliter la circulation. Les blés découverts disparaissent, brûlés par le gel. Il s’en suit un redoux jusqu’à la fin mars mais il fait à nouveau froid. Cette deuxième vague finit le désastre de janvier car, à cause des températures plus clémentes, la végétation avait redémarré ».[25]
« Lorsque le printemps arriva, au lieu d’apporter la joie ordinaire sur la terre par la verdure des champs et par la fleur des arbres ; au lieu de consoler le laboureur par l’espérance de ses fruits, ne lui présenta que l’idée de la mort et du désespoir ».[26]
« Jean Arnaud, propriétaire à Gervans, inscrivait consciencieusement des notes relatives à la vie quotidienne du vollage dans son carnet personnel (conservé par son fils Jean-Baptiste) aux environs de 1738. Il expose qu’il y eu un tremblement de terre le 30 janvier 1740 à midi et le 21 février suivant : le 21 février de la même année, à quatre heures du matin on a entendu et senti un autre temblement de terre ».[27]
En plus des calamités climatiques les habitants sont écrasés par les impôts qui contribuent à accroitre leur misère :
« Mais les impôts royaux sont, au contraire, une charge excessivement lourde, après qu’aux impôts anciens sont venus s’ajouter la capitation, le dixième, une foue de contributions nouvelles. Il faut, dit Vaubon, que le paysan pousse sa précaution jusqu’au point de se priver du nécessaire, pour ne pas paraître accommodé ».[28]
Après avoir réglé les frais d’obsèques de leur père, dévolus à l’héritier universel, et, postérieur au premier mars 1746, avec la mort de sa belle-mère Catherine (épouse de son père Jean), François doit régulariser la situation du patrimoine familial : il verse 99 livres* et 19 sols le 07/05/1745 justifiée par quittance à son frère Jean,[29] quelques semaines avant le contrat de mariage de celui-ci.
*NDLR :D’après un inventaire (8 mars 1740), 1 cheval avec harnachement vaut 25 livres. [30]
Le salaire annuel d’un travailleur de terre ou d’une servante est de 20 à 30 livres extrait de l’article ‘transactions et crédits des curés au XVIIIe siècle, revue drômoise de mars 2021’.
Dans le testament de Jean, le père, décédé de mort subite, il est noté « bien » pour définir ce qu’il possède. Je ne sais pas s’il y a l’existence d’une habitation dans la succession : François, laboureur, travaille à Marsaz en février 1746[1]. La dot de sa future épouse est égale à trois cent livres (somme que doit un bourgeois de Marsaz à la mère de la future, contrat de mariage 2 E 23174 folio 87 du 04/11/1741, AD26). Le couple attendra trois ans pour convoler en noces le 05/05/1745 à Marsaz. Le 09/02/1748, François, témoin dans un acte, le notaire écrit ‘habitant la Rivière Saint-Clément’.[2]
[1] Vue 54, BMS, 5 Mi 118 R/2, AD26
[2] 2 E 23174 folio 218, AD26
Ma famille se trouve bien à Mercurol et s’y établi : en 1925 y nait une descendante de François : Jeanne Marie Louise.
La descendance de François n’étant plus ma branche, je la laisse de côté.
La seconde partie de mon écrit est en lien avec mon ancêtre Jean (frère de François), fils de Jean et de Michèle Poulin.
[1] Page 19, la France de Richelieu par Michel Carmona chez Fayard.
[2] Page 65, tome 36, Société d’archéologie et de statistique de la Drôme, AD26
[3] 2 E 15021 folio 113, AD26
[4] 2 E 15021 folio 113, vue 437, AD26
[5] Mon écrit : Châteauneuf sur Isère, un bail au nom d’Antoine marié à Marguerite paru le 15/05/2024
[6] Généanet, identifiant giroudguilhot : ascendance de Jean Vinay et de Jeanne Penchenier et page 334, tome 53, Société d’archéologie et de statistique de la Drôme, AD26
[7] http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1621
[8] 1 Num 620, vue 32, AD26
[9] Page 242, tome 6, Saint-Clément par A. de Gallier, Société d’archéologie et de statistique de la Drôme, AD26
[10] Page 102, les curés de la Drôme aux 17ème et 18ème siècle par l’abbé Adrien Loche, aumônier, St Joseph de Vals, Saint-Uze, AD 26.
[11] Page 42, série Q, AD26
[12] 2 E 23174, folio 83, AD26
[13] Contrat de mariage 2 E 7706 folio 54 du 01/10/1718, AD26
[14] 2 E 23174 folio 84, AD26
[15] 2 E 23174, folio 172, AD26
[16] Page 70 à page 80, les structures familiales et les rapports inter générations dans deux localités de la Drôme : Chantemerle Les Blés et Mirabel Les Baronnies de 1650 à 1789 de I. Dumas et S. Plagiau, BH 1440, AD26.
[17] Page 281, année 1723 par Claude Gros de Boze
[18] Page 244 et 245, l’Allée du Roi, Françoise Chandernagor
[19] Page 4, les paysans de la plaine de Valence au temps de Louis XIV par J.P. Bernard, n° 1 études drômoises, année 1982
[20] https://fr.wikipedia.org/wiki/Citoyen_actif
[21] Page 190, Jean-René Trochet, revue Géo, numéro 195 de 05/1995
[22] Page 1179, dictionnaire de l’Ancien Régime par Lucien Bély
[23] Châteauneuf d’Isère par A. Lacroix, tome 27, Société d’archéologie et de statistique de la Drôme, AD26
[24] 2 E 7696 folio 142 le 01/06/1665, AD26
[25] Page 32 à page 34, le terrible hiver 1709, revue numéro 10 année 2007, tailles et détails.
[26] Page 12, Jacques Mouly (1788/1856) par Natalie Maillet, revue origines Ardéchoises n° 75
[27] Page 10, l’école primaire au hameau de Gervans, BH 1441, AD26
[28] Page 223, tome 8, les charges des classes sociales sous Louis XIV, E. Lavisse
[29] 2 E 23174 folio 156, AD26
[30] http://herve.laine-bucaille.pagesperso-orange.fr/valeurArgent.htm
[31] Vue 54, BMS, 5 Mi 118 R/2, AD26
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